Votre entreprise dispose-t-elle des outils pour prévenir les risques psychosociaux dans l’agroalimentaire ?
Vos équipes sont-elles suffisamment formées pour faire face aux enjeux de sécurité spécifiques à ce secteur exigeant ?

L’industrie agroalimentaire occupe une place centrale dans le tissu économique français. Avec plus de 15 000 entreprises et 450 000 salariés, c’est un secteur qui ne dort jamais. Pourtant, derrière cette vitalité, se cache une réalité plus complexe : celle d’un environnement de travail exigeant, où les risques professionnels sont omniprésents, en particulier les risques psychosociaux.

Entre les cadences imposées par les lignes de production, les contraintes sanitaires strictes et la pression constante sur les coûts, les salariés du secteur subissent un stress intense. Mal encadré, ce stress peut rapidement se transformer en burn-out, en conflits ou en accidents. Il ne s’agit pas seulement de productivité, mais de santé mentale et de qualité de vie au travail.

Prendre au sérieux la sécurité au travail, c’est protéger les femmes et les hommes qui font tourner nos usines. C’est aussi garantir la durabilité des performances. Dans cet article, nous allons explorer les spécificités des risques dans l’agroalimentaire, partager des bonnes pratiques concrètes et montrer comment des formations ciblées peuvent transformer la culture de sécurité d’une entreprise.

 

I. Les risques spécifiques à l’agroalimentaire

Les dangers mécaniques : entre automatismes et vigilance

Les chaînes de production ne laissent aucune place à l’erreur. Les salariés travaillent souvent au contact de machines rapides, tranchantes, lourdes. Un instant d’inattention, une formation incomplète, et c’est l’accident. Les coupures, écrasements et chutes ne sont pas rares. En 2022, plus de 23 000 accidents du travail ont été recensés dans l’agroalimentaire, selon la CNAM.
Ces chiffres rappellent une chose : la sécurité est l’affaire de tous, à chaque seconde.

Les risques invisibles : chimie et biologie au quotidien

Travailler avec des détergents puissants, manipuler des produits crus, dégager des vapeurs ou respirer des moisissures : voilà le quotidien de beaucoup d’opérateurs. Si les gestes deviennent routiniers, les risques, eux, restent bien réels. Les allergies, les troubles respiratoires ou encore les infections peuvent surgir si les protections ne sont pas correctement utilisées.
L’INRS classe le secteur parmi les plus exposés aux agents biologiques.

Quand l’organisation dérape : les risques psychosociaux

Horaires en 3x8, pics d’activité, absence de pause, manque de reconnaissance… Ces facteurs organisationnels ont un impact profond sur le moral des équipes. On pense souvent que le stress est inhérent au travail, mais cumulé et banalisé, il devient toxique. La fatigue s’accumule, la communication se tend, et les corps finissent par parler : troubles musculo-squelettiques, migraines, isolement.

Selon la DARES, un tiers des salariés du secteur se dit en tension mentale constante. C’est un signal d’alarme qui exige une réponse collective.

 

II. Bonnes pratiques pour renforcer la sécurité

Comprendre pour prévenir : l’importance du DUERP

Ce document obligatoire permet :

  • D’identifier les dangers spécifiques à chaque poste

  • D’évaluer la gravité et la probabilité des risques

  • De mettre en place un plan d’action concret

Sa mise à jour annuelle est primordiale, surtout dans un secteur soumis à des changements rapides (nouveaux produits, nouvelles normes, etc.).

Il est également recommandé de réaliser des audits internes, incluant les RPS, pour compléter cette démarche.

Engager les équipes : de la parole à l’action

Parler de sécurité ne suffit pas. Encore faut-il que les salariés s’approprient les enjeux. Organiser des réunions régulières, partager les retours d’expérience, afficher les règles de manière visuelle : autant de gestes simples qui renforcent l’attention. Mais c’est souvent dans le regard du manager de proximité que tout se joue.
C’est lui qui repère les signaux faibles, qui rassure, qui alerte !

Innover sans complexifier : digital et ergonomie

Adapter un poste de travail à la morphologie d’un opérateur, limiter les gestes répétitifs, introduire des capteurs pour alerter en cas d’anomalie… Ces petites révolutions techniques ont un grand impact. La digitalisation, elle aussi, devient une alliée : suivre les formations, consulter des check-lists interactives, automatiser certains contrôles, tout cela permet de gagner en sérénité.
 

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III. Se former avec Mandarine Learn : un outil de transformation

Une plateforme conçue pour les réalités du terrain

La plateforme Mandarine Learn est conçue pour répondre aux besoins des entreprises de terrain, y compris dans des secteurs techniques et sensibles comme l’agroalimentaire.

Avec son interface intuitive et ses contenus modulables, elle permet :

  • Une formation à distance simple à déployer

  • Une accessibilité sur tout support (PC, mobile)

  • Un suivi précis des apprenants et des progrès

Les contenus sont conçus pour s’intégrer dans les contraintes quotidiennes de vos équipes.

Un catalogue riche et personnalisé

Les formations de Mandarine Academy couvrent un large spectre : sécurité au travail, prévention des RPS, ergonomie, gestes et postures, mais aussi cybersécurité, IA, outils Microsoft 365 ou démarche RSE. Chaque entreprise peut créer son propre parcours en fonction de ses enjeux. Des modules sont même dédiés au secteur agroalimentaire, avec des cas concrets et des mises en situation.

Un accompagnement humain et rigoureux

Derrière la plateforme, il y a des experts. Mandarine Academy accompagne les responsables RH, QHSE ou formation pour définir une stratégie efficace. Des outils de suivi permettent de visualiser la progression, d’évaluer l’impact, et de rester en conformité avec les obligations réglementaires. Des entreprises agroalimentaires ont déjà vu des résultats concrets : baisse des accidents mineurs, meilleure cohésion, plus grande implication.


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Agir maintenant pour demain

La sécurité au travail dans l’agroalimentaire ne peut plus être considérée comme une simple obligation réglementaire. C’est un enjeu stratégique, humain et économique. Les risques sont nombreux : machines dangereuses, produits chimiques, troubles musculo-squelettiques, stress… Mais ils ne sont pas une fatalité !

En combinant une évaluation rigoureuse des risques, des bonnes pratiques de prévention et une formation continue adaptée, les entreprises peuvent créer un environnement de travail plus sûr, plus sain et plus motivant.

Mandarine Academy s’impose comme un partenaire de confiance pour accompagner cette transformation, grâce à des contenus pédagogiques accessibles, ciblés et personnalisables.


Infographie à retenir – Les 3 leviers d'une sécurité agroalimentaire durable

 

Mandarine Learn vous accompagne dans cette transformation, avec des outils simples, humains et efficaces.

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FAQ - Risques psychosociaux agroalimentaire

1. Quels sont les risques psychosociaux les plus courants dans l'agroalimentaire ?
Stress, burn-out, fatigue mentale et conflits internes sont les principaux risques psychosociaux identifiés.

2. Quelle est la différence entre RPS et TMS ?
Les RPS concernent la santé mentale ; les TMS (troubles musculo-squelettiques) touchent le corps. Ils sont souvent liés.

3. Le DUERP est-il obligatoire pour les PME ?
Oui, toutes les entreprises doivent disposer d'un DUERP, quelle que soit leur taille.

4. Peut-on suivre les formations Mandarine Learn en usine ?
Oui, la plateforme est accessible sur mobile et tablette, même en milieu industriel.

5. Comment commencer avec Mandarine Learn ?
Il suffit de contacter Mandarine Academy pour obtenir un accès personnalisé à la plateforme et définir un parcours adapté.

 

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